Avec l’arrivée de l’automne, les oranges, bien que pas encore mures et non comestibles, font l’objet de razzias des écoliers et des élèves des établissements scolaires jouxtant les jardins environnants. Et c’est le jeu du chat et de la souris qui s’achève, le plus souvent, par la victoire de la souris (c’est-à-dire les petits chenapans). Mais ce qui est plus désolant encore, c’est que les parents accompagnant leurs enfants (des femmes pour la plupart) s’y mettent eux aussi et avec effronterie. Les riverains ont beau se plaindre auprès des directeurs des écoles (qui n’y peuvent rien), mais sans résultat. Et cela se répète toutes les saisons. Que faire ?